Un événement Autour des Auteurs
en collaboration avec Occitanie livre & lecture
Chant pour Carole / Cant per Carole, livre électronique libre, français/catalan, Obsidiana Press, 2018
Chant pour Carole version française est un livre électronique de poésie à l’occasion de la Sant Jordi 2018 (23 avril).
La première partie réunit des poèmes de l’année 2017 et 2018 dans lesquels jaillit la lumière de l’amour. “L’Oiseau et le Poète” est un poème de liberté recouverte en septembre 2017. “Poème pour Carole” est écrit en avril 2018 et est l’axe de la parole dans son actualité de renaissance des amoureux.
Cant per Carole versió original català es un llibre electrònic de poesia a l’ocasió de la Sant Jordi 2018.
La primer part reuneix poemes de l’any 2017 i 2018 dins les quals brota la llum del amor. “L’Ocell i el Poeta” es un poema de llibertat recobrada dins setembre 2017. “Poema per Carole” es escrit en abril 2018 i es el eix de la paraula dins la seva actualitat de renaixement dels enamorats.
Lien de téléchargement (gratuit)
Émission Traces de Lumière sur FM+ Montpellier
Aster Carole, poésie, Obsidiana Press, mars 2018
illustration de couverture : Monique Ariello
ASTER CAROLE est l’affirmation d’un amour, lente résurgence, éternelle permanence. Des années d’amour secret, intime, et d’une tendresse infinie.
Cet amour d’une telle pureté, sacré, brillant et doux à la fois. Sacré car gardé secret des années durant, conservant silencieusement toute la ferveur, toute la beauté d’une relation faite d’estime, d’admiration. Histoire qui ne peut être admise que par la connaissance de la passion.
Mutisme sur la muse, libération des vers…
Désormais dans ce recueil : Cet amour est lu et partagé.
Gardez-le précieusement en vous. Le temps de la cristallisation, le long cours de l’eau du poème vous l’impose.
Visa Permanent, poème (ebook), chez Obsidiana Press, avril 2017
Réaffirmer l’indispensable fraternité et œuvrer pour un monde plus tolérant, plus imaginatif, plus créatif. Un monde à partager qui se doit d’être en paix au singulier et au multiple avec cette exigence d’être à l’écoute des soubresauts humains.
Ce poème est une réponse à une invitation de Thérèse Daredare à un état des lieux de l’accueil des migrants par diverses associations et personnes engagées en leur faveur sur le Lodévois en février 2017
Mesclun : Méli-Mélo de Poésie, recueil, chez Obsidiana Press, avril 2017
Illustration intérieure : Simone Derocque (gravure)
« Le mot mesclun désigne un mélange de salades. J’ai souhaité ce nom du Sud pour ce recueil de poésie afin de rendre hommage aux ensaladas et autres pratiques poétiques. Textes réunis par le temps (compositions de 2016), par l’espace (ville de Montpellier), par l’affection (mes parents, mes enfants, etc.) avant de manger les pissenlits par la racine.
Ce livre est un livre de l’intime, suffisamment pudique je l’espère pour ne pas faillir. Aussi ne faudra-t-il pas s’étonner d’y trouver certains poèmes en langues étrangères – une quasi constante dans mon écriture et dans ma vision du monde.
Ce livre parle de mes racines italiennes et aussi occitanes (même si on ne trouve pas de poèmes en occitan).
Le poème est un fruit, le déguster est un des bonheurs les plus vifs qui soient. Le poème est la vie à croquer et à se remémorer telles les pommes d’Antonov. »
Au Finisterre de l’imagination, poésie, Obsidiana Press (États-Unis), avril 2016
François Szabó, poète d’expression française et espagnole, célébrant l’amour courtois (La Fe libreto de ópera, Nouvelles stances à Lénothcka) mais également la flore et le monde (Herbier de Garrigue, Fragilité de cistes, Planète Pacifiée) ainsi que l’intime (Demeure hors néant, La Double impression) évoque aussi la création littéraire (La primera frase es una pregunta, Again, Life is a gift). Poète vivant à Montpellier, le voyage initiatique se fait à travers des lectures et des écritures de langues variées : russe, anglais, catalan, etc.
Au Finisterre de l’imagination est une incitation au voyage avec pour seul bagage le livre et comme seule destination le recoin trop inexploré du rêve immobile.
Un hommage rendu par François Szabó au poète
Pascal Gabellone nous a quittés en mai 2015, mais demeure la trace qu’il a laissé à ses proches ainsi qu’à ses collègues, ses élèves, ses lecteurs. Son art consommé de la tendresse et de la finesse de son appréhension du monde.
Une sensibilité artistique que l’on retrouve dans son œuvre poétique et critique : Que ce soit dans La Blessure du réel où l’artiste est à l’épreuve du monde, expérience charnelle et parfois tragique où l’art permet la cicatrisation et la spiritualité la sublimation, ou que ce soit dans L’Inhabité où l’on retrouve la douleur peu à peu éloignée où la distance et l’absence sont apprivoisées.
Il est notable que sa dernière publication à ce jour, essai en italien publié chez Anterem Fra Terra e Cielo marque la résidence du poète sur Terre puis au Ciel.
Ses compagnons littéraires de vie : Ungaretti par l’expérience vécue transmise, Paul Celan pour la catharsis et l’art en marche, Mallarmé pour l’abstraction restreinte, compagnie jamais défaillante qui lui permit d’œuvrer sur le poétique, quête et mode de vie adoptée au quotidien.
C’est avec Un regard sur les confins, sous-titre de Fra Terra e Cielo, que son attention s’est portée aussi sur les présences splendides de Blanchot et Leopardi, où l’écriture est un champ d’exploration et un chant salvateur.
L’ultime demeure, il l’a trouvée, après cet écart entre Terre et Ciel. Si loin et si proche dans la teneur sensible, topos de toutes les réconciliations et avec la sérénité dans la grâce.
Illustration : Portrait de Pascal Gabellone, dessin de Jacques Basse
La Double Impression et autres poèmes, poésie, Obsidiana Press, 2015, Charleston (États-Unis)
La double impression est un volume de poèmes en plusieurs parties qui regroupe quelques suites de poèmes de livres d’artistes mais aussi un noyau à plusieurs voix, théâtre de l’être, de l’introspection et de la création.
Paroles diverses en points de vue et angles d’approche de l’existence d’un monde à appréhender.