Interview du peintre Vincent Bioulès | avec Raymond Alcovère | sur RCF Radio, 16 mai 2024

Une interview du peintre Vincent Bioulès par Jean-Pierre Phaure et Raymond Alcovère

 

Dans cet entretien de 25 minutes, le peintre Vincent Bioulès aborde la genèse du groupe Support-Surfaces, puis son retour à la peinture figurative ainsi que sa vision de la spiritualité, son lien avec la nature et la lumière, au travers de la peinture.
Et il est aussi question de poésie…

sur RCF c’est ici

Face Nord, Vincent Bioulès, 2016 (huile sur toile 97X130cm) – Photo Galerie La Forest Divonne

 

 

 

Auteurs, autrices en lecture, Comédie du livre, dimanche 19 mai 2024

‘AUTEURS, AUTRICES EN LECTURE’
Comédie du Livre – 19 mai 2024

 

CHOC DES IMAGINAIRES
Auditorium du musée Fabre, Montpellier

un événement coorganisé par Autour des Auteurs et Occitanie Livre & Lecture

 

Coordination de l’événement et réalisation de la vidéo :
Sylvie Léonard pour ADA

 

Peaufiner ses écrits, par Joëlle Wintrebert, mai 2024

Trouvé sur Quora, cet « Indice d’un roman médiocre » de Cyril Destoky, qui liste un nombre d’items incroyable à surveiller quand on écrit un livre.
Attention, bien lire l’introduction et la coda  : l’auteur précise bien que ce sont des pistes, et que la présence de l’un ou l’autre ou de plusieurs des items n’implique pas du tout que le roman soit médiocre.

Lire ici Cyril DESTOKY Indices d’un roman médiocre

Tant qu’on y est, voici un texte sur la réécriture d’un texte, que l’on pourra compléter à loisir (j’ai ajouté les prépositions).

Lire ici L’Art de la Réécriture en 4 étapes de Nadia GOSSELIN 

 

Être en Poésie, de François Szabó

un article de François Szabó paru dans L’Étrave n°281, mai juin 2024
publication bimestrielle de Poètes Sans Frontières (revue papier)

 

Être poète implique à la fois une certaine discipline et une offrande au monde. Exigence de tous les instants, ici la médiocrité n’a pas sa place. On n’est pas poète à moitié ni par intermittence. C’est un métier de vivre, tel que l’énonce Cesare Pavese, c’est une profonde immersion dans la responsabilité qui ne peut être qu’assumée. C’est aimer sans compter, c’est donner sans reprendre, c’est un acte de foi, c’est une exigence sublime.

La Poésie est également le domaine de tous les possibles, car l’élan créateur est le lien de toute floraison et fructification, la poésie est un printemps toujours réitéré.
C’est ardemment affirmer la tendresse comme origine de toute humanité accomplie, de toute manière d’œuvrer au monde.
Si pour Eeva-Liisa Manner, le monde est le poème de mes sens, la solitude est le creuset de l’œuvre poétique :

À quel point la solitude peut se propager de moi, les buissons périssent, les arbres s’enfuient et les martres, les martres.
La froidure de la nuit s’éloigne lentement toujours plus comme la frange d’un glacier et recouvre les petits corps. Les arbres au-dehors soutiennent la vacuité, la solitude comme une pierre passe d’arbre en arbre Infinitude et neige.

Et comme tout philosophe affirmer La Sagesse de l’Amour.
C’est aussi le sens orphique de l’amour qui sauve les âmes de l’errance. Et tel Czesław Miłosz tout mettre en œuvre. Si tel Pierre Reverdy, le poète écrit pour se réaliser, il est redevable à ses prédécesseurs et à l’écoute de ses contemporains. Heureusement il reste des vocations et cela est plutôt réjouissant.

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Qu’est-ce que la SOFIA ?, numéro spécial de SELF infos | 12 avril 2024

Qu’est-ce que la SOFIA ? Comment est-elle née ? Pourquoi il est intéressant de s’y inscrire ?
Colette Vlérick, administratrice SOFIA, vous explique tout dans ce numéro spécial de SELF Infos. N’hésitez pas à suivre les liens dans le document pour avoir des informations complémentaires.

accéder au document ici : Self-Infos – Qu’est-ce que la-SOFIA?

une communication de Joëlle Wintrebert

Création d’un fonds pour l’indemnisation des auteurs en cas de liquidation judiciaire de leur maison d’édition, 4 avril 2024

La Société des Gens de Lettres (SGDL) et le Syndicat national de l’édition (SNE) s’associent pour créer, avec le soutien de la SOFIA, un fonds d’indemnisation des créances de droits d’auteur non recouvrables au terme d’une procédure de liquidation.

Le fonds est à ce jour intégralement financé par la SOFIA, par affectation d’une partie des sommes dites « irrépartissables » du droit de prêt (part éditeurs). La commission compte treize membres, dont un représentant de la SOFIA.

en savoir plus ici

Édition à compte d’éditeur ou à compte d’auteur ?, un article de Jacques Martel | mars 2024

Excellent article du président du SELF, Jacques Martel, qui explique comment différencier une vraie édition (à compte d’éditeur) des éditions à compte d’auteur.

télécharger ici 2024_Self-Infos – Édition Compte Auteur

 

une contribution de Joëlle Wintrebert, 20 mars 2024

 

Assemblée générale à la brasserie Le Dôme, Montpellier | mardi 5 mars 2024

De gauche à droite – Photo 1 : Sylvie Léonard, Francis Zamponi.
Photo 2 : Jean-Louis Cianni, Serguei Dounovetz, Raymond Alcovère, Line Fromental, Henri Lehalle, Joëlle Wintrebert, Marion Nicolau, Janine Teisson, Marie-Hélène Lafond, Danielle Ferré, Danielle Helme, Hervé Pijac – au centre : Christian Malaplate et en arrière Régine Seidel.
Photo 7 : Françoise Renaud, Francis Zamponi.

Photographies : 1 Joëlle Wintrebert / 2 à 6, 8  Françoise Renaud / 7 Sylvie Léonard.

Statut d’intermittents des écrivains, édito de Pascal Riché, BIBLIOBS | 1er mars 2024

édito de Pascal Riché, BIBLIOBS, 1er mars 2024
version en ligne ici

Un statut d’intermittents des écrivains, sur le modèle de celui des intermittents du spectacle : voilà une audacieuse réforme que Rachida Dati devrait engager pour marquer son passage rue de Valois. C’est du moins la conviction de l’auteur jeunesse et traducteur Mathias de Breyne, dont nous avons publié mardi une lettre ouverte adressée à la ministre de la Culture. Farfelue peut sembler l’idée, et probablement nulles sont ses chances d’être reprise par un gouvernement qui célèbre le travail (qu’on trouve « en traversant la rue ») et qui rabote la durée d’indemnisation du chômage avec l’ardeur des ponceurs de Gustave Caillebotte.

Et pourtant, elle mérite une vraie réflexion. Pourquoi Mathias de Breyne est-il obligé, pour survivre, de déterrer des carottes ou de castrer des épis de maïs, alors qu’il en est à son vingtième livre publié ? Pourquoi doit-il vivre dans la précarité dès la première panne d’inspiration, quand n’importe quel comédien, musicien ou ingénieur du son est assuré de toucher une rémunération chaque mois, quoi qu’il arrive ? Lire la suite…